À l’été 1885, Montréal est en pleine épidémie de variole. Un lot de vaccins mortels et les conditions exécrables des hôpitaux francophones rendent une grande partie des citoyens réfractaires à la vaccination et à la quarantaine. La presse francophone banalise la maladie. L’élite anglophone écrit que les Canadiens-français sont des ignorants et qu’ils devraient se faire vacciner. Des émeutes éclatent.

1885: Montréal au bord de la guerre ethnique

L’affaire Riel et l’épidémie de variole (Wikipédia)

Les commencements de l’administration montréalaise de la santé publique (1865-1885) (PDF)