qui présente dans À Babord, une revue de la gauche radicale, Le sport en ville. Pour une appropriation citoyenne 

Extraits

La pratique du sport fait sortir le citadin de chez lui et le force à utiliser l’espace public ou semi-public, de telle sorte qu’il entre en contact avec ses concitoyenNEs et négocie l’espace urbain entre ses propres pratiques et celles des autres, entre les fonctions prévues par les décideurs et les multiples détournements possibles : (….)

De plus, les méga-évévements sportifs sont devenus un cadre d’action privilégié par le capital financier, d’autant plus que l’appel à la santé physique et le sentiment d’appartenance peuvent être instrumentalisés afin de légitimer des actions financières et urbanistiques qui autrement n’auraient pas la même acceptabilité sociale.