Brian Myles, La Presse

© La Presse, Archives.

L’auteur est président de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ).

(…) Au Québec, les journalistes ne sont pas emprisonnés dans des cachots infects, dignes de régimes dictatoriaux. Ils sont enfermés dans les dédales d’une bureaucratie gouvernementale qui considère malheureusement l’information publique comme sa chasse gardée.

(…)

Obsédés par le contrôle du message, les responsables publics manient une langue de bois qui est devenue la langue universelle pour mettre en boîte les journalistes.