Les femmes oubliées du front inconnu. Rita Alarie travaillait dans l’industrie militaire durant la Seconde Guerre mondiale. Elle dit qu’elle faisait juste sa job.

Par Ingrid Peritz, The Globe and Mails

Rita Alarie a les cheveux blancs et se tient debout du haut de son timide cinq pieds et deux pouces, une guerrière peu probable sur un front inconnu.
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Mme Alarie avait seulement 17 ans quand elle quitta la ferme de sa famille au nord-ouest de Montréal et traversa les portes du plan Bouchard, une usine informe de temps de guerre consacrée à armer les alliés. Chaque jour, debout dans son tablier, de 4 heures de l’après-midi à minuit, elle emboutissait des obus de munitions sur la ligne 4. Ça payait 35 pièces la semaine.

Les femmes oubliées du front inconnu. Rita Alarie travaillait dans l’industrie militaire durant la Seconde Guerre mondiale. Elle dit qu’elle faisait juste sa job.

Par Ingrid Peritz, The Globe and Mails

Rita Alarie a les cheveux blancs et se tient debout du haut de son timide cinq pieds et deux pouces, une guerrière peu probable sur un front inconnu.
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Mme Alarie avait seulement 17 ans quand elle quitta la ferme de sa famille au nord-ouest de Montréal et traversa les portes du plan Bouchard, une usine informe de temps de guerre consacrée à armer les alliés. Chaque jour, debout dans son tablier, de 4 heures de l’après-midi à minuit, elle emboutissait des obus de munitions sur la ligne 4. Ça payait 35 pièces la semaine.