Tout ce que cette journaliste de La Presse n’a pas écrit dans ses nombreux articles vachement positifs sur les croisières est résumé plus bas dans un seul paragraphe d’un livre signalé en 2014 par le Kiosque.

Les vachement positifs : “ De nouveaux paquebots sont lancés chaque saison, on assiste à la diversification continuelle des itinéraires et à la multiplication des thématiques..” (…) Au confort des installations, il faut ajouter la qualité du service et de la nourriture. (21 novembre 2011)

(..) Divertissement, repos ou découverte de nouveaux pays? Est-ce qu’il s’agit d’un voyage en couple, avec des enfants ou intergénérationnel? Peu importe les réponses, il y a assurément une croisière (sinon plusieurs) qui comblera les attentes. De plus, il y a de fortes chances que la croisière fournisse quelques éléments de surprise et d’émerveillement. (22 novembre 2011)

Pendant les vacances d’été ou de Noël, la semaine de relâche ou le congé de Pâques, la croisière est une option séduisante pour un voyage en famille. Les activités nombreuses et diversifiées, l’abondance de nourriture et les prix abordables ne sont que quelques-uns des attraits de ce type de vacances. (22 novembre 2012) 

Les superpaquebots sont de véritables villages de vacances. Ils proposent une panoplie d’expériences, garantissent confort et sécurité aux passagers et respectent l’environnement. Mais certains préjugés sont tenaces : trop gros… trop de monde… Qu’en est-il exactement ? ( …) Le grand nombre de passagers ne diminue en rien la qualité du service. Les employés sont nombreux, empressés et souriants. Puisque la plupart des passagers fréquentent régulièrement les mêmes endroits, le personnel connaît rapidement les goûts et les habitudes de chacun et il n’hésite pas à multiplier les petites attentions. (19 novembre 2015)

 

41luY6DnXGLLe Kiosque avait signalé en 2014 un livre remarquable sur le tourisme et signalé un paragraphe sur les croisières.

Overbooked : The exploding business of travel and tourism

Elizabeth Becker

Simon & Schuster

(Bibliothèque de Ville Mont-Royal)

Becker aims her sharpest barbs at the cruise ship industry, which claims to add some $40 billion a year to the United States economy. Giants like Royal Caribbean and Carnival Cruise Lines avoid paying minimum wage and exempt themselves from environmental scrutiny by registering their vessels under the flags of countries with lax or nonexistent regulations. They lure cruise passengers into making expensive purchases of diamonds and art from companies that offer dubious money-back guarantees. And they have turned certain ports of call into crowded bazaars filled with tacky merchandise and tourist hordes. “They’re like portable low-rent Hiltons,” one walking-tour executive tells Becker, “that go everywhere with little concern for the garbage they leave behind or the havoc they make in the short time they invade a place.”