Vaches_à_Saint-Jean_de_l'Île_d'Orléans.JPG… On n’explique pas qu’un cultivateur ne peut pas vendre ou donner ses vaches au voisin. Celui-ci est obligé d’acheter le quota qui va avec.

On apprend que le prix payé par hectolitre aux producteurs baisse. On n’explique pas pourquoi le consommateur ne paie pas moins cher son litre de lait.

Le Québec perd plus de 250 fermes laitières, un article de Stéphanie Bérubé dans La Presse