Tout commence à Bialystok, en Pologne, ville natale de Ludwik Zamenhof. Là-bas, au 19e siècle, Juifs, Polonais, Allemands et Lithuaniens vivent ensemble malgré des tensions ethniques. C’est pourquoi Zamenhof publie un manuel de l’espéranto en 1887, pour faciliter les communications. Il s’inspire surtout des langues latines mais aussi germaniques, slaves et grecque. La nouvelle langue fait fureur. En vingt ans, les espérantistes forment des centaines de clubs. Aujourd’hui, environ un 1 million à 1,5 millions de gens parlent l’espéranto.

Dans Le Devoir: Cent ans après la mort de son père, l’espéranto tient la forme