Si vous demandez à Jessica Bennett en quoi consiste son métier, elle vous expliquera qu’elle est comme « une rédactrice en chef normale, mais plus énervée ». Nommée première gender editor de l’histoire du « New York Times » (et de la planète) fin 2017, elle vous expliquera aussi qu’elle aimerait que son poste n’existe pas. « Mais tant qu’il est nécessaire, je suis contente de l’occuper. »

Un article du Nouvel Observateur