Dans une revue financée par l’ACDI, l’organisme fédéral qui s’occupe de développement international :
«Il faut se souvenir de cela en organisant la résistance. Deuxièmement, il faut relancer la « guerre de position » au niveau politique. La « brèche » créée par l’élection d’Amir Khadir doit être élargie. Pas parce que nous pensons que nous changerons le monde en faisant élire 2 ou 4 députés de Québec solidaire. Mais parce que nous avons besoin d’un porte-parole de nos luttes au niveau parlementaire et médiatique. Ce n’est pas Amir Khadir qui va gagner pour nous, c’est nous qui allons gagner pour lui.» (Extrait de l’article Bienvenue à l’ère post néolibérale, Le Journal des alternatives)