Fin juillet 2006, La Presse nous apprenait que Ginette Lewis, candidate de Québec solidaire et membre de Gauche Socialiste ( trotskyste) exprimait toute son admiration pour l’organisation pro-iranienne Hezbollah disant lui donner un «appui inconditionnel», vantant sa «résistance féroce» et disant que l’organisation radicale musulmane était «un signe d’espoir».

Le jour suivant, Françoise David et Amir Khadir ont dissocié le parti des déclarations de Lewis, « While conceding that there had been “an overabundance” of bombing by Israel, David said the left must consider “all of the victims” — apparently an allusion to Israeli casualties. »

La suite de l’histoire racontée par Richard Fidler

On a demandé à la section locale de Québec de faire enquête et, selon Fiedler « il y avait des allusions à des sanctions disciplinaires contre Ginette Lewis. »

« Trois mois plus tard, lors d’une session plénière de QS, la présidente du parti Alexa Conradi ( maintenant présidente de la FFQ) est venue sur le podium pour offrir des excuses publiques à Ginette Lewis au nom de l’exécutif du parti. « “Des choses inacceptables” » ont été dites par certains chefs du parti a-t-elle dit.  Spontanément, les délégués ont fait une ovation debout à Lewis. »

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