Quand il meurt voilà 400 ans, l’empereur donne l’autorisation qu’il repose en terre chinoise. Bien qu’italien, Mattéo Ricci était chinois au milieu des chinois. Ce jésuite découvre le meilleur de cette culture millénaire et l’ouvre à l’espérance de l’Evangile. Sa voie : un apostolat intellectuel. Il réfléchit au rapport entre foi et raison.

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Portrait de Matteo Ricci, en 1610, par le jésuite chinois Emmanuel Pereira