Une chronique à lire dans « The Gazette »

Les décrocheurs des écoles secondaires du Québec peuvent s’attendre à gagner 440,000$ de moins au cours de leur vie que leurs camarades de classe diplômés. Ils ont plus de chance de passer du temps en prison, d’être prestataire de l’aide sociale et de souffrir de dépression clinique. Leur espérance de vie est inférieure. Ils sont moins susceptibles d’aller voter, de faire du bénévolat ou de donner du sang. Qu’est-ce que cela signifie pour la société dans son ensemble? Tout.