Une trop bruyante solitude
Par Émilie Dubreuil, chroniqueuse
« L’autre jour, j’ai vu une jolie robe dans la vitrine d’une boutique. J’en avais très envie et j’avais les sous pour la payer. À peine entrée dans ce magasin de bonbons pour fille gourmande de mode, j’avais envie d’en sortir. Si l’enfer existe, c’est une discothèque en plein jour, avec ses « speakers » qui distillent des basses à vous faire trembler de tout votre être. »