Fin du monde: le jour d’après
Or donc, la fin du monde a été remise à une date ultérieure. Si vous cherchez le terme psychologique désignant les louvoiement de ceux qui y ont cru et y croient encore, c’est : dissonance cognitive. Ou l’art — douloureux— de concilier dans notre tête, deux faits totalement contradictoire (…) Ces dernières années, d’autres psychologues ont tracé des parallèles avec les gens qui évoquent des théories du complot, adhèrent au créationnisme ou nient le réchauffement climatique ; on est là aussi face à des gens qui luttent pour concilier une croyance très forte avec des preuves du contraire pourtant solides. (Agence Science Presse)