«Les Muguette Paillé ont raison de s’inquiéter : dès l’âge de 45 ans, un travailleur a plus de risque de basculer dans le chômage de longue durée.»

C’est ce que nous apprend cet article d’Annick Poitras, paru dans Jobboom, où l’on peut entre autre apprendre ceci:

«Au Québec, 50 % des retraités vivent une espèce de mort sociale : ils parlent de ce qu’ils mangent, de leur digestion, de leurs pilules, il n’y a plus qu’une survie biologique en cours. […] L’écart est tellement grand entre ce qu’ils rêvaient pour leur retraite et ce qu’ils subissent, qu’ils préfèrent se cacher dans des pratiques végétatives ou parfois, selon moi, carrément dans la maladie d’Alzheimer. Oublier les affaires, c’est aussi une façon de mourir…»