Avoir l’art dans la peau
par Catherine Lévesque, Montréal Campus
Impossible de ne pas se faire remarquer en étant couverts de tatouages de la tête aux pieds. Les rues de Montréal se transforment en musée à ciel ouvert où déambulent des œuvres vivantes.
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Mais parfois les oeuvres vivantes éprouvent des remords et, comme le signale cet article : “de nouveaux salons font leur apparition; leur spécialité, enlever les tatouages. Un tiers des Américains âgés entre 25 et 29 ans ont un tatouage. La trentaine les fait réfléchir.” (Miller McCune.com)