par Catherine Lévesque, Montréal Campus

Photo: Raphaëlle Bonin

Impossible de ne pas se faire remarquer en étant couverts de tatouages de la tête aux pieds. Les rues de Montréal se transforment en musée à ciel ouvert où déambulent des œuvres vivantes.

Mais parfois les oeuvres vivantes éprouvent des remords et, comme le signale cet article : “de nouveaux salons font leur apparition; leur spécialité, enlever les tatouages.  Un tiers des Américains âgés entre 25 et 29 ans ont un tatouage. La trentaine les fait réfléchir.” (Miller McCune.com)