Une partie de la réponse se trouve dans une grande enquête en plusieurs articles du Bureau of Investigative Journalism, publiée par le quotidien britannique The Independent. Cette ONG a piégé une des plus grandes entreprises du secteur outre-Manche, Bell Pottinger, présidée par un ancien conseiller en communication de Margaret Thatcher, en enregistrant à leur insu ses dirigeants afin de prouver que Londres fait office de «centre mondial du “nettoyage de réputation”, où des lobbyistes travaillent en coulisses au nom des régimes les plus controversés».