Agence QMI

“Officiellement, le gouvernement Charest n’a toujours pas statué sur l’avenir de la centrale nucléaire Gentilly-2. Mais Hydro-Québec a déjà dépensé 850 millions $ dans les travaux préliminaires de réfection.”

© Archives / Agence QMI

En fait on peut très bien prédire ce qui s’en vient en lisant, avec beaucoup d’attention, un joli article de la revue Forces, la revue de prestige d’Hydro-Québec.

L’article est écrit par Alain Contant, chroniqueur Énergie à la revue Forces et ancien chef des relations publiques à la Société d’énergie de la Baie James. Le Kiosque présume que le texte a été relu par ses boss.


L’an dernier, le Kiosque faisait un lien vers un superbe texte d’opinion d’un lecteur du Devoir sur la centrale Gentilly.

Ce lecteur résume très bien l’histoire de la centrale nucléaire (tout le contexte économique, énergétique, démographique et politique à l’époque de la construction est bien décrit), il explique le rôle que joue actuellement Gentilly-2 (elle ne représente que 3% de la capacité énergétique québécoise) et l’évolution du paysage énergétique depuis 40 ans.

Le Kiosque avait aussi relevé sur le site de la FTQ ce texte de Michel Arsenault publié le 14 août 2008:

« J’ai visité cette semaine les installations de la centrale et j’y ai vu des gens professionnels et compétents qui appliquent les plus hauts standards de sécurité tant pour les travailleurs que pour le public », a déclaré le président de la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), Michel Arsenault…”

« Avec Gentilly-2, nous avons développé une expertise de pointe que la réfection et la mise à niveau de la centrale nous permettront de maintenir et d’affiner », a indiqué pour sa part Richard Perreault, président de la section locale 1500 du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ), le plus important affilié de la FTQ.