Dans “Le carnet de Gaston Deschêne” la petite histoire du crucifix à l’Assemblée nationale.
Un article sur Vigile.net
Duplessis a le dos large. Son nom est encore revenu sur le tapis dans le débat sur la présence d’un crucifix à l’Assemblée nationale depuis 1936. « Cette décision de Duplessis n’est pas fortuite, a écrit un historien dans le Devoir du 27 janvier dernier (2007) : elle est réfléchie et correspond au désir du nouveau gouvernement d’effectuer un virage dans les relations entre l’Église et l’État québécois. Duplessis veut montrer qu’il se distingue des gouvernements libéraux antérieurs en étant davantage à l’écoute des principes catholiques ».
Duplessis est évidemment le coupable. Au premier degré en plus, comme on dit au prétoire. Et il aurait récidivé au Salon rouge. L’affaire est jugée, mais n’est-elle pas préjugée ?