Deux petites phrases révélatrices de Jacques Attali, un penseur français, dans un long texte intéressant de Philip Gourevitch du New Yorker (12 décembre 2011) sur Sarkozy.

 

« Dans les années 90, Attali a travaillé à la rédaction du Traité de Maastricht,  le «blueprint» pour l’Union européenne et il m’a dit:

 

(« The nation alone is impossible. We have to be Europe, and that’s it.» (..) «We didn’t put in any chapter providing a way out. No exit. That was on purpose.»)

 

«La nation seule est impossible.Nous devons être l’Europe. Et c’est comme ça.»  (..) Nous n’avons rien écrit qui permettait d’en sortir (de l’Union). Aucune voie de sortie. C’était voulu.