Fais-moi mal, Rihanna!
Nous, les médias, dans le fond, nous sommes de bonnes grosses poires, soumises et dociles, de la pâte molle et manipulable. Un relationniste nous appelle et nous propose un projet de fou, hautement promotionnel, avec une grosse vedette américaine et on dit oui toute de suite. On ne pose pas de questions ni de conditions. On saute sur l’occasion comme la misère sur le pauvre monde.