Agence QMI 

«C’est l’horreur absolue, car scientifiquement on sait que la mémoire intra-utérine existe pendant les neuf mois que l’on porte nos enfants, a dit l’ancienne magistrate à la Cour du Québec. Et il y a des répercussions par rapport au moment et à la façon dont les enfants sont conçus. On se demande dans quel état va naître cet enfant-là et quelles seront les conséquences de ces prises abusives de médicaments dans les premiers mois de grossesse.»