1847463_3_2d1f_le-pape-francois-ier-le-13-mars-2013_81687dc505936edf714d7465c6d5a8afL’aut’Journal, la voix des syndiqués radicaux,  explique pourquoi les cardinaux ont élu un pape latino (une mission conjointe CIA-Vatican) et argentin (pour nuire au Venezuela).

 

Le pape remplace-t-il Hugo Chavez ?

par André Maltais

(…) En 2013, l’Amérique latine est devenue l’épicentre de la révolution mondiale, se permettant même de ressortir le socialisme des boules à mites. De plus, dans ce principal bastion catholique du monde, le Vatican a perdu le quart de ses fidèles au cours des trente dernières années.

D’où le choix d’un pape latino-américain qui a déjà commencé à flatter la « nouvelle Amérique latine » et qui, nous dit Bilbao, n’hésitera pas à se « déguiser en Chavez » pour mieux remplir la mission conjointe CIA-Vatican d’en finir avec la révolution au sud du Rio Bravo.

L’Argentine, elle, est choisie pour sa faiblesse; parce qu’elle apparaît comme le pays important le plus susceptible d’être décroché du bloc progressiste latino-américain à court terme.

L’un des premier pays de ce bloc à être frappé sérieusement par les effets de la crise mondiale, l’Argentine paraît vivre la fin du cycle des Kirchner, alors qu’une ample coalition électorale regroupée autour de la stratégie latino-américaine états-unienne est en voie de se former pour 2015.

La tactique consiste à affaiblir les appuis régionaux du Venezuela parce que ce pays est l’avant-garde de l’avant-garde révolutionnaire latino-américaine.