Lisa-Marie Gervais, Le Devoir

Le directeur du Département des littératures de langue française à l’Université de Montréal, Benoît Melançon, craint que le mot communication n’induise une certaine « professionnalisation ». « Les gens travaillent dans le domaine de la communication, mais on ne peut pas dire la même chose du domaine des lettres. On n’est pas du tout dans une logique professionnalisante », a-t-il soutenu.