Par Challenges.fr


Une rue commerçante de Montreal (Québec) (C) Sipa

Pour le professeur à l’Ecole de criminologie de l’Université de Montréal, Carlo Morselli, ce chiffre est intéressant, mais difficile à confirmer. “Je ne sais pas par quelle méthodologie ils y sont arrivés”, observe-t-il.  En fait, dit-il, “la mafia est une industrie de protection”. Des tenanciers de bars paient pour un service réel: “La sécurité s’améliore, il y a moins de vols. Et la clientèle augmente.”