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Conduire «peut avoir un impact physiologique négatif. La physiologie et la médecine fonctionnelle ont étudié cette question et trouvé que cela affecte automatiquement les ovaires et retourne le pelvis. C’est pourquoi nous trouvons chez les femmes qui conduisent continuellement leurs voitures des enfants qui naissent avec des désordres cliniques à différents degrés», affirme le Cheikh al-Luhaydan (en arabe).


A Sanaa, au Yémen, le 21 février 2012 dans un bureau de vote. REUTERS/Ahmed Jadallah