On ne dira jamais assez l’importance d’une presse diversifiée pour être bien informé.
Exemple
Combien gagnent les employés du Massif de Petite-Rivière-Saint-François?
28 novembre 2013
Québec-Hebdo
Les syndiqués sont insatisfaits de l’offre salariale, qui s’étale sur une convention collective de six ans avec une augmentation de 9%, dont un gel pour les deux premières années.
20 décembre 2013
Brigitte Lavoie
Le Soleil
La présidente du Conseil central de Québec-Chaudière-Appalaches (CSN), Ann Gingras, déplore toutefois que le Massif «reste sur ses positions» et ne démord pas d’une entente de six ans.
5 février
Marie-Pier Cayer
Le Soleil
Le syndicat demande une augmentation de salaire de 5 % par année, pour une convention collective de trois ans.
11 février
La Presse
La convention collective au Massif est échue depuis le 31 décembre 2013. Le syndicat soutient que la «dernière véritable négociation» entre les parties remonte à plus de huit ans.
11 février
La Presse économie
Entrevue faite par
Étienne Fortin-Gauthier
La Presse Canadienne
Il y a six ans, les syndiqués avaient accepté de faire des sacrifices pour permettre l’éclosion du projet, rapporte Mme Gingras. «C’est une question de respect, les gens ont l’impression que M. Gauthier est méprisant à leur égard. Il nous a fait des promesses et six ans plus tard, on a plutôt des coupes de service. Il nous refuse les augmentations de salaire qu’on est en droit de recevoir. Les gens sont indignés», a soutenu Mme Gingras au terme du vote.
Le Massif avait déposé la semaine dernière une offre dite finale aux syndiqués. Par le vote de grève, le syndicat souhaite envoyer un électrochoc à la partie patronale et la forcer à négocier de nouveau.
12 février
Le Soleil
Brigitte Lavoie
Selon la CSN, l’offre patronale a peu changé depuis le début des négociations. Le contrat de travail proposé par le Massif est toujours de six ans et comprend une offre salariale de 9,5 % d’augmentation. Rappelons que les syndiqués CSN souhaitaient une convention collective plus courte que la précédente et la parité salariale avec les stations de ski du même gabarit.
14 février
L’hebdo charlevoisien
Rappelons que plus tôt cette semaine, les syndiqués avaient refusé l’offre patronale et s’étaient votés cinq jours de grève.
14 février
Le Soleil
Brigitte Lavoie
Réunis en assemblée générale mardi, les syndiqués ont refusé l’offre patronale et ont voté pour cinq jours de grève.
17 février
La Presse
La durée de la convention collective suggérée et les hausses salariales de 11,5 pour cent, sur 6 ans, ne passaient tout simplement pas auprès de 86 des quelques 230 travailleurs réunis en assemblée générale spéciale.
17 février
Brigitte Lavoie
Le Soleil
La proposition à l’étude, également recommandée par le syndicat, prévoyait toujours une durée de convention collective de six ans ainsi que 11,5 % d’augmentation salariale. Il s’agit de 2 % de plus que l’offre patronale d’il y a une semaine.
18 février
Radio-Canada
« Pour le syndicat, l’objectif premier, c’est toujours la conclusion d’une convention collective qui va être satisfaisante pour tous et pour toutes. Cependant, il y a une limite à niaiser le monde. Ce que les gens veulent, c’est que l’employeur ait un peu de reconnaissance et qu’il ait surtout du respect à leur égard », déclare Mme Gingras.
18 février
Le Devoir
La durée de la convention collective suggérée et les hausses salariales de 11,5 % sur 6 ans ne passaient tout simplement pas auprès de 86 des quelque 230 travailleurs réunis en assemblée générale spéciale.