By LIZ ALDERMAN, The New York Time
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Une tribune intitulée, en français, «Au Revoir, entrepreneurs» publiée dans le quotidien américain s’appuie sur les témoignages de jeunes expatriés français et dépeint une France malade de ses entrepreneurs.

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Guillaume Santacruz is among many French entrepreneurs now using London as their base. He said of his native France, “The economy is not going well, and if you want to get ahead or run your own business, the environment is not good.” Andrew Testa for The New York Times
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Réactions du Figaro

Alors que le chômage a de nouveau progressé en France, la nouvelle salve du New York Times contre la France frise parfois les stéréotypes. «Au Revoir, entrepreneurs», le titre en français d’une tribune publiée dans le New York Times annonce la tonalité du papier. Après une immersion au cœur de la communauté française de Londres, la journaliste Liz Alderman dresse un portrait peu flatteur de l’Hexagone. La correspondante du New York Times basée à Paris s’appuie sur les témoignages de jeunes entrepreneurs venus monter leur entreprise dans la capitale britannique. Ces déracinés ne sont pas toujours tendres avec leur patrie d’origine.