On a eu un écho de la « synergologie » (discipline qui décode le langage nonverbal) lorsque Philippe Turchet a analysé à TVA le premier débat des chefs des élections québécoises 2012.

 

 

Mais il y a aussi la chroniqueuse Jocelyne Robert qui précise sur son site qu’elle a une formation de synergologue.

Le Kiosque signale

un article de la revue savante Communication publiée par Département d’information et communication à l’Université Laval:

Pour en finir avec la « synergologie »

Une analyse critique d’une pseudoscience du « décodage du non-verbal »

Pascal Lardellier

Résumés

Les théories proposant des outils pour décoder la communication non verbale et décrypter la gestuelle de nos interlocuteurs connaissent un étonnant succès éditorial. Parmi elles, la « synergologie » est une pseudoscience qui singe les codes académiques afin d’essayer de capter une légitimité ensuite négociable dans le domaine de la formation continue. Cet article met au jour les faiblesses, les contradictions, ainsi que l’idéologie de cette « similithéorie du décodage du non-verbal ».