Protection du français: le bonnet d'âne pour l'AMF!
par Pascal Cyr, historien
“L’égarement et le laxisme linguistiques de l’AMF ne s’arrêtent pas là. Depuis 2002, l’AMF ne produit plus auprès de l’Office québécois de la langue française le rapport exigé en vertu de l’article 302.1 de la Loi sur les valeurs mobilières (LVMQ). Comment l’AMF peut-elle expliquer ce grave manquement? Son chien a-t-il mangé son devoir? À plus de dix reprises?
Et ce n’est pas tout : depuis 2011, en vertu de la Politique gouvernementale relative à l’emploi et à la qualité de la langue française dans l’Administration, l’AMF est tenue d’élaborer sa propre politique en la matière. Or, elle ne l’a pas encore fait.”