Le système de justice mal adapté aux réalités du Grand Nord, déplore le Barreau du Québec
–manque d’interprètes ou de conseillers parajudiciaires.
-Dans certains villages, les centres communautaires, arénas ou gymnases d’école font office de lieux de justice. Il y fait souvent froid.
-« Les attentes sont grandes, les missions coûteuses et à ce jour, les initiatives mises en place n’atteignent pas toujours les résultats escomptés. » (Traduction, c’est un flop colonial)
Le Québec étant au Nord depuis 50 ans, on prendra avec une poignée de sel les voeux pieux en langue de bois du Barreau:
-sensibilisation des élus aux diverses problématiques à la rédaction des actes d’accusation dans trois langues,
-Le Barreau du Québec a également l’intention de multiplier les efforts pour promouvoir une meilleure représentativité des Autochtones au sein de la profession” (Il y a combien d’avocats inuits? 0 )
-« collectivement développer une vision commune de la justice dans le Grand Nord.
On conclue, bien sûr, avec du positif:
-les liens se tissent et se renforcent, des pistes de solutions apparaissent et on sent, chez les différents acteurs, une volonté pour agir en concertation et trouver des solutions appropriées et réalistes aux problématiques soulevées », ajoute le bâtonnier Bernard Synnott.
Synthèse sur le site du Barreau (ici)
Le rapport du Barreau qu’on pourra republier tel quel dans une dizaine d’années. (ici)
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La série d’articles de la journaliste Caroline Montpetit (Le Devoir) sur le Nunavik (notre colonie à nous)
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