Les rapports sur la violence à l’école gardés secrets
Marie-Claude Malboeuf
Malgré des demandes répétées, quatre commissions scolaires sur cinq refusent de rendre publics les rapports d’actes de violence mettant en cause leurs élèves.
De plus, trois commissions scolaires n’ont toujours pas donné suite à la demande d’accès à l’information de La Presse, six mois après l’avoir reçue.
Les boss des trois commissions scolaires en question:
Andrée Bouchard, présidente de la Commission scolaire des Hautes-Rivières (Haut-Richelieu)
Elle écrivait, sans rire : “Depuis plus d’un an, bien orientées par notre comité des communications, plusieurs personnes polissent la vitrine virtuelle d’une grande organisation qui bouge sans cesse.” (…)
Comme rien n’est statique, nous avons besoin d’une communication fluide et nous vous invitons à nous transmettre vos commentaires, suggestions ou tout souci quant à notre grande communauté éducative. ”
Jean Couture, président de la Commission scolaire René-Lévesque (Bonaventure)
