Y a-t-il trop d’étudiants au doctorat?
Un texte de Laurence Martin
Les étudiants au doctorat en grève ces jours-ci à l’Université York et à l’Université de Toronto disent qu’ils sont sous-financés. Leur chance d’obtenir un poste permanent de professeur, une fois le diplôme en poche, est mince. Et, malgré tout, ils sont de plus en plus nombreux à s’inscrire dans un programme de 3e cycle. Pourquoi? Devrait-on limiter leur nombre?