Le country québécois, lieux communs et clichés tenaces
Jean-Pierre Sévigny
En lisant l’article d’Isabelle Porter dans Le Devoir (5 juillet) intitulé « La percée country du Festival d’été de Québec », je constate que l’on continue de colporter les pires clichés à propos de la musique country. L’article repose tout simplement sur une fausse prémisse.
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Il aurait été plus exact de dire « le country est traditionnellement boudé par les intellectuels ou les grands médias ». Il n’y a pas si longtemps, les deux cohabitaient prétentieusement dans ce qu’il était convenu d’appeler l’élite. Les temps ont changé, mais les lieux communs et les clichés sont tenaces.