Le journalisme de presse écrite serait la pire des professions que l’on puisse exercer aujourd’hui. C’est en tout cas ce qui ressort du tout dernier classement publié par le site américain CareerCast en décembre. En cause, la précarité, principalement due à la faiblesse des salaires et à la multiplication des licenciements. Et ce ne sont pas les mauvaises nouvelles de ces dernières semaines en provenance de l’industrie canadienne qui vont le contredire. Revue de détails.

Hélène Roulot-Ganzmann dans Projet J

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