On vit dans un cartoon
Lu sur le blogue Anick Desrosiers “Critique sociale engagée” cet extrait de Souvenirs de Syrie, les cheveux au vent: “Toutefois, je continue d’être remuée du fait qu’une dictature entre deux guerres m’ait accueillie et traitée avec respect, en me donnant plus de liberté que ce qu’on accorde aux femmes voilées qui viennent dans notre pays, qui se dit pourtant fier d’être libre.”
Je me souviens de l’invisibilité des femmes et de mon statut différent, comme occidentale, de mon droit à la parole contrastant avec le silence partout.