Amnistie internationale a perdu sa boussole.
L’organisme ne considère plus l’opposant russe Alexeï Navalny comme un prisonnier d’opinion! Pourtant Navalny est probablement le prisonnier d’opinion numéro un du moment. (Journal de Montréal).
Mais l’organisme qui a déjà condamné la Charte des valeurs, s’en prend maintenant à la Loi sur la laïcité de l’État du gouvernement Legault.
“Le fait que le gouvernement interdise les signes religieux à certains fonctionnaires soulève «des inquiétudes en termes d’égalité des genres, de discrimination, de liberté de culte et de liberté d’expression», écrit Amnistie.” (MSN).