Télérama écrit : Poussé par l’adrénaline, il ne sent pas la douleur et y est même accro. Après les combats, il n’est plus qu’une « plaie énorme ». Son corps s’use, son mental fatigue. Alors les victoires perdent de leur sens et ses trophées lui « servent de cendriers ». Il décide de sortir de la cage. Son nouveau ring ? Le cinéma, qui l’oblige à solliciter ses émotions plutôt que ses muscles. Grâce à une réalisation immersive (on l’entend s’entraîner, la cage se fermer, la foule lors des combats), il finit même par nous attendrir. Un gladiateur poète…

Arte Radio, 33.44 minutes.