Le redoutable philosophe Santarossa passe ces oeuvres à la grille d’un cours de « principes de logique 101 » et les réduit en charpie, démontrant l’absence de rigueur et de nuance et, à simplement parler, la médiocrité intellectuelle de cette idéologie qui tient beaucoup plus d’une religion révélée à tendance (très) autoritaire que d’une science ayant sa place dans les universités.


Deux livres et un documentaire sont soumis à son analyse: Kwei, je te salue. Conversation sur le racisme, un échange épistolaire entre Deni Ellis Béchard et Natasha Kanapé Fontaine publié chez Écosociété, On peut plus rien dire. Le militantisme à l’ère des réseaux sociaux, un essai de Judith Lussier publié chez Cardinal, ainsi qu’un documentaire de Fabrice Vil intitulé Briser le code, qui sera d’ailleurs diffusé à Télé Québec le 29 janvier prochain.

Blogue de Frédéric Lacroix.

Critique dans le JDM.

Critique dans le Soleil.

Critique dans Nuit Blanche.