Par Rima Elkouri, La Presse

Si j’avais croisé Abby il y a quelques années, rien ne l’aurait distinguée au premier coup d’oeil des jeunes hommes que je croise dans mon quartier. Même redingote noire. Même barbe. Même chapeau de fourrure traditionnel le jour du sabbat. La jeune Abby que je rencontre dans le salon de l’amie montréalaise qui l’a hébergée cette semaine est bien différente. Des yeux soulignés d’un trait de khôl. Du vernis à ongles écarlate. Des perles aux oreilles. Chandail rayé rose et gris. Jean filiforme.

Le Kiosque a publié un long article :

Les Hommes en noir : les Hassidim