Le mépris

« Vous auriez tort de penser que ce ministère est comme un hôpital psychiatrique dont une poignée de patients aurait pris le contrôle. Ces gens-là savent exactement ce qu’ils veulent. Ils ont décidé de vous enfoncer dans la gorge une sorte d’école et de société dont vous ne voulez pas. Mais c’est évidemment pour votre plus grand bien. »

Aussi :

Un calendrier controversé

Ça n’a pas de bon sens

Une vérité inconfortable 

“Bref, si on veut améliorer la réussite éducative des enfants, rien n’est plus important que de s’assurer que les autorités concernées embauchent de bons professeurs et ont des recours contre les mauvais. Inutile de dire que la discussion publique chez nous ne porte JAMAIS là-dessus. C’est un autre des tabous au cœur du «modèle» québécois.”

Et :

Le Los Angeles Times vient de publier un dossier sur la performance des profs du primaire et secondaire du Los Angeles Unified School District. Réaction : un boss syndical demande le boycott du journal. Un résumé de Slate.

P.S. Il est rigoureusement impossible de savoir combien de profs sont mis à la porte au Québec.