Lysiane Gagnon, La Presse

« Dans la crise étudiante, il y a un net clivage entre la région montréalaise, où se concentre l’agitation, et le reste de la province. Même le cégep de Limoilou, qui a toujours été un foyer de contestation étudiante, fonctionne normalement…

Mais il y a un autre clivage, encore plus spectaculaire, et celui-là a en quelque sorte scindé la ville en deux. C’est celui qui existe entre les francophones et les anglophones. »