Chronique de Joseph Facal

La première est que le discours vert a souvent une tonalité moralisatrice, apocalyptique, culpabilisante, intégriste, réductrice et anti-plaisir qui finit par me tomber sur les nerfs et nuit à la cause environnementale.

La deuxième est que nos efforts individuels n’empêchent pas la détérioration progressive de notre planète. Au mieux, nous freinons celle-ci. Nos actions individuelles ne font guère le poids face aux pratiques industrielles, en particulier celles dans les pays émergents.