L’industrie de la pauvreté
Ce matin, dans sa chronique, mon collègue Michel Hébert évoque l’existence d’une business bien particulière au Québec, ce que j’appelle ‘l’industrie de la pauvreté’. Au sein de laquelle oeuvre ce qu’il appelle les ‘professionnels de la compassion’. (…)
Michel Hébert rappelle qu’il y a 5 000 organismes communautaires au Québec qui emploient 25 000 personnes, pour une facture totale de 950 millions $. Je pense aussi à la Fédération des femmes du Québec vouée non seulement à la cause des femmes mais aussi au remplacement du système par quelque chose qui s’apparente au marxisme. (…)
Le Québec, terre de compassion, a créé une industrie de la pauvreté, qui tourne à plein régime, qui use et abuse de fonds publics pour dénoncer la main qui la nourrit. Des excités comme François Saillant et tous les porte-paroles démagogues de l’industrie qui débitent des scénarios apocalyptiques insensés pour faire peur au monde (Michel Hébert cite une représentante du Front commun des personnes assistées sociales qui a dit à la télé ’des gens vont mourir de faim au Québec’).
Il faut faire le ménage dans le communautaire-révolutionnaire. Soutenir ce qui amène des résultats concrets. Flusher le reste.