À partir des années 1930, Hollywood mise sur le succès d’une nouvelle catégorie d’acteurs : les enfants. Ils s’appellent Shirley Temple, Liz Taylor, Mickey Rooney ou Judy Garland. Cloîtrés, manipulés, drogués, ils subissent un apprentissage qui ne les laissera pas indemnes.

Un billet de  Florence Colombanie (Vanity Fair)

Judy Garland et Mickey Rooney, déjà en haut de l’affiche dans Débuts à Broadway de Busby Berkeley (1941).

 

Les enfants perdus de Hollywood (Partie 2)

Pour un Leonardo DiCaprio ou une Natalie Portman, combien ont traversé la gloire comme des météorites, dans leurs plus jeunes années, avant de s’écraser au sol ? Après avoir évoqué l’apprentissage douloureux des bébés acteurs du cinéma d’avant-guerre, Florence Colombani raconte comment, à partir des années 1960, les enfants stars ont été livrés à la violence, à la drogue et à l’avidité des adultes.