Personne ne répond à la ligne téléphonique mise en place par le ministère de l’Éducation pour qui voudrait dénoncer une situation de violence sexuelle dans une école. (…) Au lieu de la confidentialité promise et attendue, on lui demande de laisser son nom et son numéro de téléphone. Après le bip, parlez-nous de votre agression… On vous rappelle !

La Presse.