Lu sur le site de l’école secondaire Le Mistral (Mont-Joli, Québec) dont la devise est : affirmons nos talents avec fierté :

Le directeur de l’école Le Mistral, Renaud Bouillon
Le directeur de l’école Le Mistral, Renaud Bouillon

-notre milieu de vie est entourée de richesse naturelle.

-Que ce soit les montagnes des appalaches, visible lorsque l’on regarde…

-l’environnement et l’économie régionale sont diversifiée et tout à fait unique.

-Le code de vie est un outils…

-Vous vous intéressez à divers sujet entourant l’éducation.

-Offrir des services à 900 élèves exiges

-les problématiques qui nécessite

-Le fonctionnement d’une école nécessite bien plus que de simple activité d’enseignement et d’évaluation.

-dans un environnement sécurité et stimulant

-Les formulaires papiers ne sont pas encore arrivé à l’école.

-C’est à la mise en place de ce type d’environnement que consacre toute ses énergies l’équipe des services complémentaires.

-Par les liens qui suive, découvrez qui se cache derrière chacune des constituantes de notre équipe école.

-Il existe cependant deux autres mission : socialiser et qualifier.

-Qu’il s’agisse d’un soutien moral lors de moment plus difficile, de service d’orientation, de psychoéducation et de santé, de cafétériat et une bibliothèque, l’école donne accès à tous et gratuitement à une foule de service utile à leur réussite et à leur développement personnel.

-Le conseiller d’orientation est à l’écoute du vécu de l’élève pour l’aider à entrevoir en quoi ce qu’il est peut influencer ce qu’il sera.

-Il est aussi là pour encourager l’élève à changer lorsqu’il tient à un avenir que son présent risque de compromettre.

-Les recherches des élèves sont accélérer par l’usage des index sur les postes informatiques disponible en tout temps.

-sachez que la politique alimentaire de la commussion scolaire ne permet pas ce genre de repas à l’intérieure de l’école.

-qui fixe les rendez-vous des deux médecins qui se partage

-Comme intervenante sociales, mon role

-Je vois également des jeunes (….) qui ne s’aime pas physiquement…

-Suite à mon évaluation, je peux les référer ces élèves

-Il est important que les jeunes sachent qu’ils peuvent être aider dans toutes ces situations et pour d’autres aussi.

-Je suis également là pour les enseignants et les parents préoccupé.

-Enfin, l’école Le Mistral se démarque par quatre enrichissement exceptionnel. Chaque année, près de 35% de notre clientèle dans l’un de nos programme

-Certains élèves de troisième secondaire (….)

pourraient bénéficier de mesures de soutient particulière à leur besoin

-Voici une activité pour t’aider à faire le choix d’une séquences mathématique.

-Guide toi de cette activité pour découvrir le style de mathématique le plus susceptible de t’intéresser. Prend le temps d’en discuter avec tes parents, ils seront sans doute intéressé de découvrir les nouvelles séquences mathématiques et ils pourront t’aider à faire un choix.

On peut aussi lire, sans rire :

L’usage correct des langues est l’une des conditions clés dans la réussite scolaire et professionnelle de l’élève.

À l’école Le Mistral, l’équipe d’enseignants est constituée de 12 enseignants en français et de 6 enseignants d’anglais. Par les projets qu’ils mettent en place pour inculquer à l’élève toute l’importance de bien maîtriser leurs disciplines respectives, ils contribuent au développement de compétences essentielles à la réussite des élèves. Ils offrent à la fois une ouverture sur la connaissance et sur le monde en permettant à leurs élèves de comprendre le sens de ce qu’ils lisent, dans une langue ou dans l’autre et blablabla…

Pendant ce temps-là, dans une galaxie très éloignée…

Entrevue avec Michelle Courchesne

Tant qu’à déprimer

Chiffres troublants de fin d’année…

Selon un sondage commandé par le Globe and Mail, les jeunes adultes anglophones sont deux fois plus nombreux à croire à l’importance d’un diplôme universitaire que leurs homologues francophones.

Pour sortir de la déprime

NOUVEAUTÉS DE LA BIBLIOTHÈQUE MUNICIPALE DE CHAMBLY

Titre: Comment contrôler sa pensée / Madeleen DuBois en collaboration avec Michèle Lemieux.
Auteur: DuBois, Madeleen, 1946-

Titre: 21 décembre 2012, catastrophes prévisibles / James Harrison.
Auteur: Harrison, James, 1954 12 août-

Titre: La bible des anges. 2, Les anges au quotidien : écrits inspirés par les Anges de la lumière/ [transmis par] Joane Flansberry.
Auteur: Anges de la lumière (Esprit)

Titre: Positivez vos émotions au travail : bien gérer ses émotions et celles des autres, développer sa confiance en soi, accroître son leadership / Anne Cherret de la Boissière, Caroline Delabroy.
Auteur: Cherret de La Boissière, Anne

Titre: Boostez votre créativité : [faire surgir des idées innovantes] / Guy Claxton et Bill Lucas ; [traduction française, Tina Calogirou avec la collaboration d’Isabelle Guilhamon].
Auteur: Claxton, Guy.

Titre: L’art d’influencer : la persuasion commence par l’amélioration de soi / Chris Widener ; [traduction, Caroline Charland].
Auteur: Widener, Chris.

Titre: Le dictionnaire illustré des rêves : ce que vos rêves révèlent sur votre vie / Pamela Ball ; traduit de l’anglais par Michel Saint-Germain.
Auteur: Ball, Pamela J., 1940-

Titre: Les rêves chez l’adolescent : guide pratique pour rendre le sommeil plus créatif / Nicole Gratton.
Auteur: Gratton, Nicole, 1951-

Titre: Réussir son nouveau couple et faire durer l’amour / Bernadette Costa-Prades avec la collaboration de Jacques-Antoine Malarewicz.
Auteur: Costa-Prades, Bernadette.

Titre: Les armures du cœur : comment gérer les habitudes et attitudes qui vous empêchent d’avoir une vie riche et satisfaisante / Marilyn Kagan et Neil Einbund ; traduit de l’anglais par Josée Guévin.
Auteur: Kagan, Marilyn.

L’achat de ce genre de livres par des bibliothèques municipales scandalise ? On aurait tort, selon l’auteur et les signataires de cette lettre particulièrement condescendante :

“Ainsi, il y a une vision romantico-élitiste évidente qui émane de ce type de grief. Bien des gens qui se désolent de la piètre qualité des documents acquis par les bibliothèques publiques, voire du populisme dont celles-ci font preuve, croient que le but ultime d’une bibliothèque est d’éduquer le bon peuple et de défendre la Culture, celle avec un grand C. Or, est-ce bien la mission de la bibliothèque publique?”

Dernières lignes: “Pour discuter de développement de collections, n’en déplaise aux ignorants, les bibliothécaires restent les mieux placés. Il est simplement dommage qu’on ne pense pas à nous interroger plus souvent!

“En terminant, un conseil à ceux qui se disent insatisfaits des acquisitions de leur bibliothèque. Les bibliothécaires acceptent généralement avec plaisir les suggestions d’achat de leurs clients et se font un devoir d’y répondre, dans la mesure du possible. Pourquoi donc ne pas leur suggérer de meilleurs documents, si vous pensez en connaître?”

Éthique et culture religieuse

Billet de Josée Legault

Naïfs, on croyait que notre identité reposait sur notre histoire, Champlain, la conquête, les Anglos, etc., sur la langue, sur l’hiver et une foultitudes d’autres trucs. On avait tort. Selon des profs (de l’UQAM et de l’Université de Montréal) qui ont pensé le cours Éthique et culture religieuse:

« La Charte québécoise des droits et libertés de la personne est au cœur de notre identité (…) »

Les profs en question :

Jean-Marc Larouche

Georges Leroux

Jean-Pierre Proulx

Louis Rousseau

Sur le blogue de Jean-François Lisée, trois questions aux auteurs du cours Éthique et culture religieuse

Ma question : depuis quand est-ce que cette charte des droits, un encadrement législatif – et de surcroît, au Québec, une loi du Parlement adoptée en 1975, une loi certes dite « quasi-constitutionnelle » mais qui peut être amendée par un simple vote majoritaire à l’Assemblée, et non un document de nature constitutionnelle, historique et consensuelle – peut-elle sérieusement être considérée comme étant au cœur de notre identité québécoise ?

Gérald Leblanc écrivait en 1991 sur les déracinés illuminés

L’ancien rédacteur en chef du Devoir, Paul André Comeau, a déjà écrit que les Québécois avaient l’habitude de prendre le train en retard et d’oublier de descendre au terminus. Cette propension à fréquenter les extrêmes sans s’arrêter au milieu se manifeste particulièrement dans notre attitude à l’endroit des immigrants et de leurs descendants. Après les avoirs ignorés ou exclus de la demeure, certains ont tendance à leur abandonner toute la place. S’il y a chez nous le syndrome du pure laine tricoté serré, il y a aussi celui de l’esprit planétaire qui plane avec mépris au-dessus des contraintes réelles du Québec français en Amérique. Proposant, comme un minimum, un idéal atteint nulle part ailleurs, ces déracinés illuminés refusent finalement de mettre la main à la pâte ou l’épaule à la roue du Québec français. Plus raffinés et plus in que les «nationaleux», ces «mondialeux» ne sont finalement que l’autre face du refus de se frotter aux autres tels que nous sommes et tels qu’ils sont.

On a pu voir que les deux syndromes à l’œuvre lors de la crise amérindienne l’été dernier. Pendant que les uns invitaient à terminer le génocide inachevé, les autres chantaient les louanges pastorales de la contrebande et des casinos. Le drame des Amérindiens, menacé d’extinction morale, était en effet trop complexe pour que les parasites de la peur ou de la fuite contribuent à la recherche de solutions. On préférait le passé nostalgique et le futur idyllique au présent prosaïque et l’on se traitait de racistes et d’angéliques. Ainsi va Jean Baptiste qui manque le train ou le terminus.

(Montréal comme je l’ai vue; Gérald Leblanc; Édition du Méridien -1991; Le creuset Québécois; p. 74-75)

Sur quelle planète vivent ces penseurs?

Une vidéo extraordinaire de l’American Museum of Natural History, “L’univers en 6 minutes”, nous fournit peut-être la réponse.

Il faut cliquer sur “pause” à 3 minutes 42. C’est de cet endroit, qui offre un recul suffisant, que les déracinés illuminés trouvent les solutions aux problèmes du Québec.