Superbe article d’Ariane Krol

L’interrogatoire d’Earl Jones, qui vient d’être rendu public, expose enfin les rouages de cette machine à pomper les clients. On est frappé de voir à quel point le mécanisme était rudimentaire.

Extrait:

«L’accusé recevra sa sentence en février. Mais qu’arrivera-t-il du système réglementaire et bancaire qui lui a permis de se prétendre conseiller financier durant 25 ans, d’utiliser un compte en fidéicommis sans la surveillance d’un ordre professionnel et de faire accepter autant de fausses signatures? À défaut d’un procès, de sérieuses remises en question s’imposent.»