À lire dans L’EXPRESS

Dans les années 1990, lorsque le tourisme est devenu la première industrie cubaine, je travaillais dans une agence de communication publicitaire. En tant que concepteur et maquettiste, les directives que je recevais étaient claires: au même titre que le rhum, les plages et les cigares, il fallait vendre la femme cubaine comme un produit de consommation afin de séduire les touristes. Quatre pays étaient visés en priorité: Espagne, Canada, Mexique, Italie. “N’oublie pas de valoriser le postérieur”, nous répétait-t-on.