Glané sur le web
Par Gilles Guénette, dans le blogue du QL :
L’échec, c’est le succès; l’ignorance, c’est la connaissance; bafouiller, c’est parler. C’est comme si on nous avait tous transportés dans un monde parallèle et que personne ne s’en était rendu compte. Un monde parallèle où la médiocrité et le je-m’en-foutisme sont des qualités socialement acceptées.
Les enseignants, trop occupés à sensibiliser à tout et à rien – les inégalités sociales, les dangers de l’hypersexualisation, les méfaits du tabagisme, les troubles alimentaires, le taxage, etc. – et à produire des citoyens « responsables » – qui vont recycler, protéger l’environnement, promouvoir l’équité, encourager la redistribution de la richesse, parler à leurs ados, payer fièrement leurs taxes, acheter local, etc. –, ont oublié leur mission première: celle d’enseigner la grammaire, les mathématiques, les matières de base.
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Dans L’actualité, Valérie Borde débite en fines tranches et en quelques paragraphes le ministre Serge Simard.
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Critique de Macleans sur un documentaire récent à propos du Maharishi Mahesh Yogi, le “parrain” de la Méditation Transcendantale et de la lévitation.
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Étrange remarque dans The Gazette :
«Anglo seniors usually don’t move to a elder-care home until their mid to late 80s, he added – unlike francophones, who generally tend to leave their long-time family residence about a decade sooner.»
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Lu dans le livre Diversité humaine: démocratie, multiculturalisme et citoyenneté :
«Aujourd’hui, c’est presque devenu un lieu commun de déclarer que le pouls des sociétés contemporaines bat au rythme de la dynamique universalisatrice du phénomène technique de la démocratie.» (Lazare Marelin Poame)
À éviter donc!